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Dynamique Emotionnelle Exprimée, thérapie de groupe et individuelle – Paris, Province

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Culpabilité maternelle : s’en libérer en thérapie émotionnelle

 

Quand la douleur s’installe en silence : culpabilité maternelle

Devenir mère ne se résume pas à une succession d’instants heureux. Entre les attentes sociales et les exigences intérieures, nombreuses sont les femmes qui vivent une forme plus ou moins sourde de culpabilité maternelle et de honte. Une émotion tenace, parfois diffuse, parfois accablante, mais toujours difficile à nommer. Que révèle cette culpabilité ? Et comment la traverser en thérapie émotionnelle ?

Le sentiment de culpabilité maternelle ancien qui refait surface

La maternité réactive souvent l’histoire infantile. À travers le lien avec leur bébé, certaines femmes se retrouvent confrontées à des souvenirs enfouis ou à des blessures non symbolisées. Un regard, un pleur, une absence de réponse du nourrisson peuvent raviver une mémoire émotionnelle profonde. La culpabilité maternelle devient alors l’expression d’un conflit intérieur : celui de n’avoir pas su aimer « comme il faut », de n’avoir pas été aimé elle-même par son entourage ou d’avoir échoué à réparer une blessure ancienne.

Des injonctions qui renforcent la pression

À ces ressentis intimes s’ajoutent les injonctions extérieures : être une bonne mère, ne jamais se fâcher, toujours comprendre son enfant. Ces attentes irréalistes nourrissent la culpabilité maternelle dès qu’un écart surgit entre l’idéal et la réalité. Toute fatigue, tout agacement, tout besoin personnel devient suspect. Beaucoup de femmes se taisent, redoutant le regard des autres.

Un espace thérapeutique pour déposer les auto-accusations

La thérapie émotionnelle offre un lieu sécurisant pour accueillir cette culpabilité maternelle sans jugement. Il ne s’agit pas de rassurer à tout prix, mais d’ouvrir un travail en profondeur. Revisiter son histoire, identifier les zones de douleur, reconnaître les conflits de loyauté inconscients : autant de clés pour désamorcer les schémas qui entretiennent la culpabilité maternelle.

Lire autrement la culpabilité de la maman et se libérer des punitions

En thérapie, cette émotion n’est plus vue comme un défaut, mais comme un signal. La culpabilité maternelle devient alors l’indice d’une fidélité à une part blessée de soi ou à une image idéalisée impossible à atteindre. En explorant cette ambivalence, la mère se réconcilie avec son humanité. Elle peut ainsi faire place à un amour sans condition, à une présence vraie, imparfaite, incarnée. Elle apprend a s’aimer et à se pardonner d’avoir été elle même une enfant dépendante.

Vers une parole plus vivante sans culpabilité maternelle

Mettre des mots sur la culpabilité maternelle permet de la transformer. La parole redonne à la mère une existence hors des représentations figées. Ce pas vers soi est déjà un geste de réparation. Car c’est dans la vérité de ce qu’elle est — et non dans un rôle idéalisé — que l’enfant peut aussi s’ancrer.

Repenser la maternité avec la thérapie émotionnelle

La thérapie émotionnelle invite à quitter la honte et la rigidité. Elle aide à accueillir la complexité de l’amour maternel et à inventer un lien plus libre. Traverser la culpabilité maternelle ne signifie pas l’effacer, mais l’écouter, la comprendre, et lui redonner une place juste dans l’histoire de la mère.

Rdv : Lucie Arnulf 06 12 33 13 39
Mail: conscience.emotionnelle@gmail.com

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